Consultation de chirurgie orthopédique à Rennes

Quand faut-il consul­ter un chi­rur­gien orthopédiste ?

La consul­ta­tion d’un chi­rur­gien ortho­pé­diste a peut-être été évo­quée par votre méde­cin lors de votre der­nier ren­dez-vous. Qui est-il, et que fait-il ?

Quel est le domaine d’in­ter­ven­tion du chi­rur­gien orthopédiste ?

Les méde­cins de l’Institut Rennais de Chirurgie Orthopédique et de Médecine du Sport inter­viennent sur l’ap­pa­reil loco­mo­teur : main, poi­gnet, coude, épaule, hanche, genou, che­ville et pied. Ils traitent les affec­tions tou­chant toutes les par­ties du membre et de ses arti­cu­la­tions, os, car­ti­lages, ten­dons, ligaments.

Pourquoi consul­ter un chi­rur­gie à l’Ircoms de Rennes ?

Consulter un chi­rur­gien ortho­pé­diste est indi­qué dans dif­fé­rents cas.

A la suite d’un trau­ma­tisme lié à un acci­dent, impli­quant une chi­rur­gie répa­ra­trice du membre concer­né. On peut citer les acci­dents de la route et domes­tiques, ou résul­tants d’une pra­tique spor­tive. Les acci­dents du tra­vail sont éga­le­ment une source d’in­ter­ven­tion fré­quente ren­con­trée par les chi­rur­giens de l’Institut Rennais de Chirurgie Orthopédique et de Médecine du Sport.

Le chi­rur­gien peut alors trai­ter les lésions des os, des car­ti­lages, des liga­ments et ten­dons, et redon­ner à une arti­cu­la­tion sa fonc­tion­na­li­té, son indo­lence et sa mobilité.

La dété­rio­ra­tion d’une arti­cu­la­tion peut atteindre un niveau de dou­leur ou de perte de mobi­li­té tel que les pres­crip­tions médi­ca­men­teuses ne suf­fisent plus à conte­nir. Cette dété­rio­ra­tion peut s’ac­com­pa­gner d’une défor­ma­tion de l’os, d’une usure de car­ti­lage ou d’une lésion de ten­don qui impliquent un acte chi­rur­gi­cal. Les causes les plus fré­quentes sont les effets de l’âge (arthrose par exemple), une dégé­né­res­cence d’o­ri­gine congé­ni­tale ou la répé­ti­tion de mou­ve­ments trau­ma­ti­sants (geste pro­fes­sion­nel répé­té, pra­tique spor­tive). Lorsque la dégra­da­tion est deve­nue trop impor­tante, une pro­thèse, par­tielle ou totale, peut redon­ner à l’ar­ti­cu­la­tion une fonc­tion satisfaisante.

Quand consul­ter un chi­rur­gien orthopédiste ?

Le patient consulte dans un pre­mier temps son méde­cin trai­tant ou éven­tuel­le­ment un méde­cin urgen­tiste, ou un spé­cia­liste. Celui-ci déter­mine si la patho­lo­gie néces­site un avis chi­rur­gi­cal ou peut être trai­tée par une autre voie. Souvent, il a pres­crit pré­cé­dem­ment un trai­te­ment médi­ca­men­teux ou des actes pour main­te­nir ou réta­blir les capa­ci­tés fonc­tion­nelles, dont les effets ne sont plus satis­fai­sants en termes de mobi­li­té de l’ar­ti­cu­la­tion ou de trai­te­ment de la dou­leur. Il peut éga­le­ment avoir déter­mi­né que le diag­nos­tic d’un chi­rur­gien ortho­pé­diste est néces­saire pour choi­sir de concert la meilleure solu­tion possible.

Consulter un chi­rur­gien ortho­pé­diste n’im­plique pas néces­sai­re­ment que son diag­nos­tic mène­ra à une opé­ra­tion. La « pano­plie » des moyens qu’il met en œuvre est très large et non exhaus­tive : trai­te­ment médi­ca­men­teux, réédu­ca­tion, orthèse, etc. L’opération est envi­sa­gée uni­que­ment lorsque toutes les autres voies ont démon­tré leurs limites ou sont inap­pli­cables ou non adaptées.

Comment se déroule la consul­ta­tion chez un chi­rur­gien orthopédiste ?

Le chi­rur­gien ortho­pé­diste éta­blit un diag­nos­tic et assure la prise en charge médi­ca­men­teuse et opé­ra­toire du patient. Pour cela, il reçoit le patient en consul­ta­tion. Il s’ap­puie éga­le­ment sur le dos­sier trans­mis par le méde­cin trai­tant ou spé­cia­liste qui suit habi­tuel­le­ment le patient. Il demande les exa­mens com­plé­men­taires néces­saires à son diag­nos­tic. A par­tir de son diag­nos­tic, il expose au patient les dif­fé­rentes voies envi­sa­geables. Après accord de celui-ci, il met en œuvre celle qui aura été choi­sie pour sa meilleure effi­ca­ci­té et supportabilité.

Qui sont les méde­cins de l’Ircoms ?

L’institut Rennais de Chirurgie Orthopédique et de Médecine du Sport regroupe à l’Hôpital Privé de Cesson-Sévigné huit spé­cia­listes de l’ap­pa­reil loco­mo­teur.